
Mina Hedayat
Du 14 mars au 28 avril 2015, la galerie MEKIC présente la première exposition en solo à Montréal de la peintre Mina Hedayat. S’articulant autour de la tradition morale d’antan, des péchés capitaux, elle invite le spectateur à les revisiter et à s’engager intellectuellement et émotionnellement dans une trame narrative que l’artiste entame sur les sept grands canevas présentés. Ici, l’orgueil, l’avarice, la luxure, l’envie, la gourmandise, la colère et la paresse répondent à un traitement gestuel et fantasque de la jeune artiste.
« Dans cette récente série de peintures, je me réfère aux sept péchés capitaux. Je m’inspire des animaux, des arts, des êtres humains, plus particulièrement des femmes pour ensuite brouiller les frontières entre le trait animal et le trait humain. Je crée dès lors une œuvre dont une première partie est inscrite consciemment dans la technique et la composition utilisées, alors que la seconde, vient apporter des éléments inconscients, surgissant au gré de mon inspiration et reflétant mon état d’âme du moment. D'une certaine façon ces peintures constituent une sorte d’autoportrait vu de l’intérieur et qui, par ricochet, prend forme d’un récit que j’esquisse au pinceau en laissant au spectateur la liberté de l'amener plus loin. Là où il peut s'élancer ou s'éteindre, là où il peut renaître ou se laisser évanouir. »
Mina Hedayat est d’origine iranienne et vit maintenant au Québec depuis la fin de la dernière année. Elle s’y est installée après un séjour de plus de quatre ans en Malaisie où elle a achevé ses études de doctorat en éducation des arts. Artiste passionnée et prolifique, elle a déjà participé à plusieurs expositions en solo et à une quarantaine d’expositions de groupe, que ce soit en Iran, en Corée, en Malaisie et à Hong Kong. Membre de la Société des peintres iraniens et de l’Institut pour la promotion des arts visuels, en tant que peintre, elle privilégie l’art figuratif comme moyen d’expression car celui-ci lui permet de dépeindre l’univers féminin tout en repoussant les frontières stylistiques et d’expérimenter diverses techniques.
Du 14 mars au 28 avril 2015, la galerie MEKIC présente la première exposition en solo à Montréal de la peintre Mina Hedayat. S’articulant autour de la tradition morale d’antan, des péchés capitaux, elle invite le spectateur à les revisiter et à s’engager intellectuellement et émotionnellement dans une trame narrative que l’artiste entame sur les sept grands canevas présentés. Ici, l’orgueil, l’avarice, la luxure, l’envie, la gourmandise, la colère et la paresse répondent à un traitement gestuel et fantasque de la jeune artiste.
« Dans cette récente série de peintures, je me réfère aux sept péchés capitaux. Je m’inspire des animaux, des arts, des êtres humains, plus particulièrement des femmes pour ensuite brouiller les frontières entre le trait animal et le trait humain. Je crée dès lors une œuvre dont une première partie est inscrite consciemment dans la technique et la composition utilisées, alors que la seconde, vient apporter des éléments inconscients, surgissant au gré de mon inspiration et reflétant mon état d’âme du moment. D'une certaine façon ces peintures constituent une sorte d’autoportrait vu de l’intérieur et qui, par ricochet, prend forme d’un récit que j’esquisse au pinceau en laissant au spectateur la liberté de l'amener plus loin. Là où il peut s'élancer ou s'éteindre, là où il peut renaître ou se laisser évanouir. »
Mina Hedayat est d’origine iranienne et vit maintenant au Québec depuis la fin de la dernière année. Elle s’y est installée après un séjour de plus de quatre ans en Malaisie où elle a achevé ses études de doctorat en éducation des arts. Artiste passionnée et prolifique, elle a déjà participé à plusieurs expositions en solo et à une quarantaine d’expositions de groupe, que ce soit en Iran, en Corée, en Malaisie et à Hong Kong. Membre de la Société des peintres iraniens et de l’Institut pour la promotion des arts visuels, en tant que peintre, elle privilégie l’art figuratif comme moyen d’expression car celui-ci lui permet de dépeindre l’univers féminin tout en repoussant les frontières stylistiques et d’expérimenter diverses techniques.