La galerie d’art MEKIC vous invite cordialement au vernissage de l’exposition de peintures de Maryam Izadifard qui aura lieu le vendredi 26 juillet 2013 de 18 h à 21 h. Intitulée Deux continents sur moi l’exposition présente la plus récente série de dessins de cette jeune artiste.
« L’exposition Deux continents sur moi représente mon virage soudain de la peinture figurative centrée en grande partie sur le thème des moments de la vie quotidienne des femmes vers la peinture plus abstraite qui reflète mon changement de vie de l’Iran vers le Canada, plus précisément vers Montréal.
Ici, mes sens ont été exacerbés par les parfums mystérieux, par les nouvelles textures et la nouvelle terre. Mes dessins reflètent les vêtements fluides de divers styles, les motifs de la neige, du vent et du brouillard ; un paysage plus ardu, un enlacement des relations nouvelles.
Ma rage subtile va contre notre tendance d’objectiver le monde, c’est un cri pour explorer le mystère de l’autre, c’est une ligne fluide entre le soi et l’autre qui demeure réelle mais n’introduit pas de notion de distance. »
Née en Iran en 1982, Maryam Izadifard est détentrice d’un baccalauréat en peinture de l’École d’architecture et des arts de Téhéran. Elle a exposé en solo à la galerie Mohsen (Téhéran, 2011) et en groupe, entre autres, au musée Sondouzi, (Téhéran, 2008), à Human Habitation (2009, Londres) et à la galerie d’art Shirin (Téhéran, 2010).
« L’exposition Deux continents sur moi représente mon virage soudain de la peinture figurative centrée en grande partie sur le thème des moments de la vie quotidienne des femmes vers la peinture plus abstraite qui reflète mon changement de vie de l’Iran vers le Canada, plus précisément vers Montréal.
Ici, mes sens ont été exacerbés par les parfums mystérieux, par les nouvelles textures et la nouvelle terre. Mes dessins reflètent les vêtements fluides de divers styles, les motifs de la neige, du vent et du brouillard ; un paysage plus ardu, un enlacement des relations nouvelles.
Ma rage subtile va contre notre tendance d’objectiver le monde, c’est un cri pour explorer le mystère de l’autre, c’est une ligne fluide entre le soi et l’autre qui demeure réelle mais n’introduit pas de notion de distance. »
Née en Iran en 1982, Maryam Izadifard est détentrice d’un baccalauréat en peinture de l’École d’architecture et des arts de Téhéran. Elle a exposé en solo à la galerie Mohsen (Téhéran, 2011) et en groupe, entre autres, au musée Sondouzi, (Téhéran, 2008), à Human Habitation (2009, Londres) et à la galerie d’art Shirin (Téhéran, 2010).