Une nouvelle exposition No body sera présentée à la galerie MEKIC du 18 mai au 16 juin 2013. Composée d’une série de photographies, elle convie le public à suivre Georges Khayat dans sa démarche artistique et personnelle au cœur de laquelle se trouve la transformation de la matière première, les textures différentes et le travail sur la forme et la composition.
Georges Khayat habille et décompose les corps subtilement, avec pudeur. Il les saisit dans leur essentielle nudité, témoins ponctuels d’une fraîcheur illusoire et éternelle. Le photographe, influencé par la notion de l’impermanence, développe sa démarche esthétique en une exploration picturale, voire sculpturale, de ses sujets.
Revêtus de textures, ces corps anonymes, qui évoquent les sculptures antiques, dévoilent à chacun sa propre fragilité. Peaux écaillées au marbre altéré, peaux voilées, texturées ou marquées par des traces de lichen, peaux teintées de lumières nuancées, les vingt photographies se succèdent et amènent l’observateur à se questionner sur l'usure du temps.
D'origine libanaise, Georges Khayat a pratiqué la photographie documentaire avant d'explorer une approche plus artistique et personnelle de ce medium. Sa recherche est habitée par la notion de déracinement, d'identité, d'usure, de transformation à travers les portraits, le corps, les paysages. Il a exposé ses œuvres à Paris, à Beyrouth et Montréal où il vit depuis une vingtaine d'années.
Georges Khayat habille et décompose les corps subtilement, avec pudeur. Il les saisit dans leur essentielle nudité, témoins ponctuels d’une fraîcheur illusoire et éternelle. Le photographe, influencé par la notion de l’impermanence, développe sa démarche esthétique en une exploration picturale, voire sculpturale, de ses sujets.
Revêtus de textures, ces corps anonymes, qui évoquent les sculptures antiques, dévoilent à chacun sa propre fragilité. Peaux écaillées au marbre altéré, peaux voilées, texturées ou marquées par des traces de lichen, peaux teintées de lumières nuancées, les vingt photographies se succèdent et amènent l’observateur à se questionner sur l'usure du temps.
D'origine libanaise, Georges Khayat a pratiqué la photographie documentaire avant d'explorer une approche plus artistique et personnelle de ce medium. Sa recherche est habitée par la notion de déracinement, d'identité, d'usure, de transformation à travers les portraits, le corps, les paysages. Il a exposé ses œuvres à Paris, à Beyrouth et Montréal où il vit depuis une vingtaine d'années.