TAAROF, IMAGES DE LA DOUCEUR IRANIENNE
Galerie d’art MEKIC en collaboration avec le festival Accès Asie présente l’exposition de photographies de Cornelis van Voorthuizen qui illustre des images de la douceur iranienne. Lors de ses voyages en Iran, le photographe a été touché par la gentillesse des personnes qu’il a rencontrées sur son parcours. Chacune l’invitant à partager un repas ou à déguster un thé dans sa maison, que ce soit à Téhéran, Isfahan, Shiraz ou Yazd. Le titre de l’exposition, Taarof, signifie justement cet art iranien de l’hospitalité qui est enraciné dans chaque individu.
Les photographies de Cornelis van Voorthuizen évoquent cette douceur que l’on trouve dans le regard aimable, le sourire paisible, ou encore dans la position corporelle de ces hommes et de ces femmes captés dans des scènes du quotidien. En hommage à cette caractéristique profondément ancrée, le photographe propose une série de clichés d’une beauté subtile, usant de la force des tirages en noir et blanc. Les portraits dévoilent ce petit quelque chose de fondamentalement culturel mais complètement humain.
Galerie d’art MEKIC en collaboration avec le festival Accès Asie présente l’exposition de photographies de Cornelis van Voorthuizen qui illustre des images de la douceur iranienne. Lors de ses voyages en Iran, le photographe a été touché par la gentillesse des personnes qu’il a rencontrées sur son parcours. Chacune l’invitant à partager un repas ou à déguster un thé dans sa maison, que ce soit à Téhéran, Isfahan, Shiraz ou Yazd. Le titre de l’exposition, Taarof, signifie justement cet art iranien de l’hospitalité qui est enraciné dans chaque individu.
Les photographies de Cornelis van Voorthuizen évoquent cette douceur que l’on trouve dans le regard aimable, le sourire paisible, ou encore dans la position corporelle de ces hommes et de ces femmes captés dans des scènes du quotidien. En hommage à cette caractéristique profondément ancrée, le photographe propose une série de clichés d’une beauté subtile, usant de la force des tirages en noir et blanc. Les portraits dévoilent ce petit quelque chose de fondamentalement culturel mais complètement humain.