Bahram Dabiri compte parmi les précurseurs de la peinture iranienne moderne. L’histoire de sa vie commence dans la ville historique de Shiraz, l’un des plus vieux centres de la culture et de la civilisation iraniennes, près de Persépolis, à la vue des motifs en relief de Naghsh-e-Rostam. Il naît en 1950 (l’année du Tigre) au mois de décembre (l’Arc et la Flèche), dans une famille de gens de lettres. Il est donc très tôt baigné dans la littérature persanne et la poésie de Saadi, Hafez et Roumi. De son enfance, à jouer dans la cour de palais Takht-e-Jamshid près de célèbres reliefs, Bahram Dabiri s’est imprégné de toutes ces influences anciennes qui lui serviront plus tard d’inspiration pour l’ensemble de son œuvre.
Diplômé en 1976 de la Faculté des Beaux-arts de l’Université de Téhéran, il choisit la peinture moderne et commence sa quête d’un nouveau langage pour la peinture iranienne. Cette recherche se fait sans oublier pour autant le passé glorieux et la tradition esthétique de son pays, comme en témoigne tout son travail sur la peinture manichéenne et sur l’école de Shiraz qui influença tellement Matisse et tant d’autres maîtres du XXe siècle.Tout en s’exprimant dans un langage nouveau et contemporain, son œuvre n’hésite pas à utiliser les traces de la civilisation classique iranienne, les symboles légendaires et mythologiques d’antan, les souvenirs de Persépolis, l’architecture et la peinture.
Intéressé par les arts appliqués qui ont joué un très grand rôle dans l’histoire des arts iraniens, Bahram Dabiri a également créé des œuvres en céramique, en velours, des Gabbeh et des sculptures en métal. Ses thèmes de prédilection sont la femme, la beauté et l’amour. Le 25 octobre 2001, l’Absolute Marbella d’Espagne écrivait à son propos : « ce que l’on voit dans l’œuvre de Bahram Dabiri c’est la grande facilité et la grande liberté avec lesquelles se conjuguent l’ordre, la spontanéité et la maîtrise des couleurs ».
La vie et l’œuvre de Bahram Dabiri montrent de quelle façon l’art et la science d’Orient ont commencé leur voyage vers l’Occident. Là où d’aucuns verront dans son œuvre des signes trop occidentalisés, d’autres percevront comment la puissance de ses peintures illustre la façon dont la tradition orientale doit être modernisée, dans le cadre d’une réflexion transculturelle et au moyen d’un medium ne connaissant ni frontières ni limites.
Bahram Dabiri compte à son actif plus de cinquante expositions individuelles en Iran et dans le monde entier dont : États-Unis, ART EXPO.New York 2000, Contemporary Iranian Modern Art N.Y, Reagan Center Washington D.C, Espagne, Febien Fryns Gallery Marbella, Ukraine, Shevchenko Museum Kiev 2000, Allemagne, Bernak Gallery Brehen 2001, Dubaï,Mirage Hotel Dubai 2002.
Diplômé en 1976 de la Faculté des Beaux-arts de l’Université de Téhéran, il choisit la peinture moderne et commence sa quête d’un nouveau langage pour la peinture iranienne. Cette recherche se fait sans oublier pour autant le passé glorieux et la tradition esthétique de son pays, comme en témoigne tout son travail sur la peinture manichéenne et sur l’école de Shiraz qui influença tellement Matisse et tant d’autres maîtres du XXe siècle.Tout en s’exprimant dans un langage nouveau et contemporain, son œuvre n’hésite pas à utiliser les traces de la civilisation classique iranienne, les symboles légendaires et mythologiques d’antan, les souvenirs de Persépolis, l’architecture et la peinture.
Intéressé par les arts appliqués qui ont joué un très grand rôle dans l’histoire des arts iraniens, Bahram Dabiri a également créé des œuvres en céramique, en velours, des Gabbeh et des sculptures en métal. Ses thèmes de prédilection sont la femme, la beauté et l’amour. Le 25 octobre 2001, l’Absolute Marbella d’Espagne écrivait à son propos : « ce que l’on voit dans l’œuvre de Bahram Dabiri c’est la grande facilité et la grande liberté avec lesquelles se conjuguent l’ordre, la spontanéité et la maîtrise des couleurs ».
La vie et l’œuvre de Bahram Dabiri montrent de quelle façon l’art et la science d’Orient ont commencé leur voyage vers l’Occident. Là où d’aucuns verront dans son œuvre des signes trop occidentalisés, d’autres percevront comment la puissance de ses peintures illustre la façon dont la tradition orientale doit être modernisée, dans le cadre d’une réflexion transculturelle et au moyen d’un medium ne connaissant ni frontières ni limites.
Bahram Dabiri compte à son actif plus de cinquante expositions individuelles en Iran et dans le monde entier dont : États-Unis, ART EXPO.New York 2000, Contemporary Iranian Modern Art N.Y, Reagan Center Washington D.C, Espagne, Febien Fryns Gallery Marbella, Ukraine, Shevchenko Museum Kiev 2000, Allemagne, Bernak Gallery Brehen 2001, Dubaï,Mirage Hotel Dubai 2002.