L'IRAN ET L'INDE
Cette exposition de photos traite de deux grandes puissances orientales, l’Inde et l’Iran. Elle a été conçue d’une part par un photographe occidental qui a voyagé dans ces régions, et d’autre part par un oriental vivant aujourd’hui à l’Ouest.
Mais Peter Gonda et Kamal ont plus que leur trajectoire inversée en commun, ils ont aussi leur sensibilité. Ils s’évertuent à voir le monde tel qu’il est et non tel qu’on le souhaiterait. Leur travail n’est pas de type journalistique, car ils ne sont pas photojournalistes. Par ailleurs, ils ne prétendent pas que le regard qu’ils portent à travers leurs lentilles soit objectif, puisque aucun regard n’est jamais vraiment neutre. C’est plutôt la patience et le synchronisme qui les unissent, parce qu’ils sont sans cesse à l’affût de ce que Henri Cartier-Bresson — leur principal influence commune appelait le "moment décisif ".
.Pour beaucoup, ce "moment décisif" constitue l’essence même de la photographie. Par lui, on atteint les mystères de la vie quotidienne, invisibles à première vue et discernables uniquement par ceux qui les saisissent au passage ou encore par ceux qui attendent leur inévitable apparition… comme le font nos deux photographes.
Gonda et Kamal sont des puristes. Ils laissent l’image et le moment saisis raconter leur propre histoire. Selon eux, le photographe, maîtrisant son savoir-faire, n’est que celui qui sert à la communiquer. Il le fait pour ceux qui restent aveugles devant de telles manifestations.
Soit qu’ils le sont devenus temporairement, soit que leur rythme de vie est par trop accéléré. De telles manifestations peuvent avoir lieu n’importe où. Dans cette exposition, elles nous parviennent depuis deux vastes pays qui ont leur place dans l’imaginaire occidental et qui peuvent ainsi être rapidement revisités.
Cette exposition de photos traite de deux grandes puissances orientales, l’Inde et l’Iran. Elle a été conçue d’une part par un photographe occidental qui a voyagé dans ces régions, et d’autre part par un oriental vivant aujourd’hui à l’Ouest.
Mais Peter Gonda et Kamal ont plus que leur trajectoire inversée en commun, ils ont aussi leur sensibilité. Ils s’évertuent à voir le monde tel qu’il est et non tel qu’on le souhaiterait. Leur travail n’est pas de type journalistique, car ils ne sont pas photojournalistes. Par ailleurs, ils ne prétendent pas que le regard qu’ils portent à travers leurs lentilles soit objectif, puisque aucun regard n’est jamais vraiment neutre. C’est plutôt la patience et le synchronisme qui les unissent, parce qu’ils sont sans cesse à l’affût de ce que Henri Cartier-Bresson — leur principal influence commune appelait le "moment décisif ".
.Pour beaucoup, ce "moment décisif" constitue l’essence même de la photographie. Par lui, on atteint les mystères de la vie quotidienne, invisibles à première vue et discernables uniquement par ceux qui les saisissent au passage ou encore par ceux qui attendent leur inévitable apparition… comme le font nos deux photographes.
Gonda et Kamal sont des puristes. Ils laissent l’image et le moment saisis raconter leur propre histoire. Selon eux, le photographe, maîtrisant son savoir-faire, n’est que celui qui sert à la communiquer. Il le fait pour ceux qui restent aveugles devant de telles manifestations.
Soit qu’ils le sont devenus temporairement, soit que leur rythme de vie est par trop accéléré. De telles manifestations peuvent avoir lieu n’importe où. Dans cette exposition, elles nous parviennent depuis deux vastes pays qui ont leur place dans l’imaginaire occidental et qui peuvent ainsi être rapidement revisités.